Le choix de sites, parfois reculés mais toujours surprenants, nécessite une logistique importante en terme de fléchage routier puis de stationnement des très nombreux véhicules à proximité des scènes.
Ce dernier rôle est confié aux « signaleurs », des jeunes vacataires qui mettent tout en œuvre pour répondre au mieux aux sollicitations des futurs spectateurs.

Ils tiennent leur poste pendant de longues heures et l’équipe de restauration du Fourneau doit assurer leur approvisionnement en repas et boissons sur site, leur octroyant ainsi un petit moment de répit une fois que le flux est passé.

Une fois sur le site, le public peut compter sur les bénévoles du Fourneau qui se tiennent à leur disposition : distribution de programmes, informations sur les lieux des spectacles,…

Un service de secours est également prévu, pour les inévitables petits bobos ou un simple réconfort.

Et puis, sur les sites des spectacles, les RIAS s’appuient sur le dynamisme des associations locales qui, en fonction de l’heure des spectacles, proposent café, gâteaux, buvette, grillades,… Toujours dans la bonne humeur, quelle que soit la commune et le travail préalable pour aménager les stands.

Parfois, la COCOPAQ profite de l’affluence pour faire un peu de communication, comme ici à Mellac sur les bonnes façons de faire le tri sélectif des déchets.

La couverture médiatique et la communication générale du Festival, via les sites Internet, justifient également la présence sur place de nombreux professionnels : vidéastes, photographes, journalistes,, informaticiens,... Chimère…

Et puis, il ne faut pas oublier les équipes techniques et services de la COCOPAQ, le plus souvent placés dans l’ombre des artistes et des projecteurs. Techniciens propres aux compagnies ou intégrés au Fourneau, agent des collectivités, ils se lèvent souvent tôt pour préparer les sites, monter les décors, les gradins, la sono ou les éclairages…

Et tant d’autres, anonymes, discrets et efficaces, qui participent activement à la réussite du Festival. N’oubliez pas de penser à eux, de les remercier à votre façon et, toujours, de les respecter (ainsi que les consignes qu’ils vous donnent).
Un grand merci également de ma part.
La Chimère